Diaboliser l'IRAN ! Rayer israel de la carte

Ne vous laissez plus piéger...

« Ils sont venus d’abord pour les communistes et je n’ai rien dit car je n’étais pas communiste. Puis ils sont venus chercher les syndicalistes et je n’ai rien dit car je n’étais pas syndicaliste. Puis ils sont venus pour les Juifs, et je n’ai rien dit car je n’étais pas un Juif. Et puis ils sont venus pour moi et à ce moment-là, il n’y avait plus personne pour protester ».

Carlyle BUSH BUSINESS SOCIETE ARMEMENT PRIVEES

Politique de guerre profitable pour cette société militaire privée.
Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy), copilote depuis avril 2008, l’activité mondiale de services financiers de Carlyle Group.

INTERVIEW JOËL REY (Ancien de Giat Industries, expert en renseignement économique.) « Carlyle est avant tout un outil politique »

Le Point : En quoi Carlyle sert-il les intérêts américains ?

Joël Rey : Ce gestionnaire de fonds est comme un « faux nez » du gouvernement américain. D'où, d'ailleurs, le nombre incroyable de dirigeants politiques de haut rang dans son équipe. C'est par exemple Carlyle qui a développé, dès le début des années 90, le concept des « sociétés militaires privées ». Des mercenaires d'un nouveau genre, dont l'emploi ne nécessite pas l'approbation du Congrès et qui ne sont pas soumis au droit de la guerre. En Arabie saoudite, 35 000 d'entre eux ont discrètement remplacé les troupes déployées lors de la première guerre du Golfe, officiellement pour assister l'armée saoudienne et protéger les puits de pétrole. Depuis, l'utilisation de ces « civils » est devenue la règle en Bosnie, en Afrique, au Kosovo, en Afghanistan, et maintenant en Irak. Naturellement, sous couvert de reconstruction, ces « sociétés militaires privées » servent également de têtes de pont pour l'entrée de groupes financiers, pétroliers et industriels qui viennent pérenniser l'influence américaine dans le pays. D'autant que, dans la foulée, on privatise aussi les entreprises publiques locales, comme aujourd'hui au Kosovo.

Le Point : On nous a aussi parlé de corruption

Joël Rey : C'est une question extrêmement sensible, évitons de citer des noms. Néanmoins, personne n'a été dupe du militantisme moralisant du gouvernement américain, qui a imposé, en 1997, l'adoption d'une convention de l'OCDE contre la corruption, notamment en matière de ventes d'armes. Evidemment, les Américains, tout en gênant ainsi leurs concurrents, avaient déjà inventé une parade pour contourner ces nouvelles règles. Outre le recours plus large aux paradis fiscaux dans le versement de commissions, il s'agit de techniques de corruption inédites qui suppriment tout transfert de fonds, éliminant donc les risques de détection. Par exemple, on rémunère un intermédiaire en le faisant investir en Bourse sur un titre dont on va faire artificiellement bondir le cours. Ce système repose sur des manipulations comptables et boursières que seuls de très grands groupes financiers sont capables d'orchestrer.

Le Point : Des groupes comme Carlyle ?

Joël Rey : Oui. Mais attention ! La stratégie de Carlyle n'a jamais été strictement affairiste. Le groupe est avant tout un outil politique et, dans la crise diplomatique actuelle entre Paris et Washington, sa puissance financière représente la meilleure arme de rétorsion à l'encontre des intérêts français. Son entrée au conseil d'administration d'Arianespace à la faveur du rachat de Fiat Avio l'illustre parfaitement. Et comme il est illusoire d'imaginer que l'hyperpuissance américaine va spontanément revenir à une relation plus équilibrée avec ses alliés, il serait temps pour nos pouvoirs publics de s'en inquiéter ! (Propos recueillis par Marie Bordet).

Qui sont ils ?

GEORGE BUSH SR Le père de l'acutel président des Etats-Unis fait profiter Carlyle de son entregent. JAMES BAKER Utilisé par Carlyle, il a été le secrétaire d'Etat de Bush senior et a aidé le fils à conquérir le pouvoir.

FRANK CARLUCCI Le stratège de Carlyle, aujourd'hui président d'honneur, a servi Reagan et a été directeur adjoint de la CIA.

FIDEL RAMOS L'ancien président populiste philippin fait partie du réseau Carlyle en Asie.

JOHN MAJOR L'ex-Premier ministre britannique est « chairman » de Carlyle Europe.

LOU GERSTNER Patron légendaire - c'est lui qui a redressé IBM - il est devenu PDG de Carlyle en novembre dernier.

GEORGE W. BUSH ET DONALD RUMSFELD son secrétaire à la Défende, connaissent très bien Carlyle. Le président américain a même travaillé pour une filiale du fonds (Caterair).

Quelques minutes avant le crash des appareils d'American Airlines et de United Airlines sur les tours jumelles du World trade center (WTC), le conseil d'administration d'un groupe militaro-industriel, baptisé Carlyle, tenait sa réunion à New York.
En son sein siégeait un représentant d'une famille saoudienne bien connue : Ben Laden. Y siègent également, une ancienne personnalité américaine, nommée James Baker. Carlyle, présidé alors par Franc Carlucci, secrétaire à la défense de novembre 1987 à janvier 1989, possède des conseillers de tout premier ordre, à la tête desquels un certain George Bush, prédécesseur de Bill Clinton à la Maison-Blanche, géniteur de Walker, son successeur. Les Bush sont une dynastie pétrolière, intimement liés par les affaires au royaume wahhabite de la péninsule arabique. Et, alors que l'espace aérien américain était fermé, Bandar Ben Sultan, l'influent ambassadeur saoudien à Washington, obtient des autorités le transfert immédiat des Ben Laden hors du territoire. Le bourreau de l'hyper puissance, Oussama, ne saurait menacer les intérêts de son clan. Ni précipité la compromission de la famille texane. Carlyle entretient des relations professionnelles avec la Maison-Blanche, il est un des gros prestataires du gouvernement fédéral.

Carlyle wars (Afghanistan)

Selon certaines thèses, il est difficile d'être catégorique sur une organisation précise, Carlyle serait un groupe n'ayant pour but que de générer d'énorme profit, afin de devenir une véritable puissance autonome, domination des illuminati ou de certains hommes d'affaires mal intentionnés le processus est le même et une chose est sûre, le pouvoir est infiltré.

Pourquoi la guerre L'Opium, le Pétrole et l'Afghanistan

Prétez attention aux intérêts des rockefeller (shell oil) et rothshild (exxon oil) concernant le transport de leurs investissements du kazakstan vers le golfe persique, on les retrouvera chez les illuminati un peu plus tard. On le voit aujourd'hui les Afghans ont tout perdu dans cette guerre, pas les américains. On ne doit plus être dupe des guerres qui trouvent pour excuse les droits de l'homme ou de la femme dans tel ou tel pays, les USA n'ont fait que ravager les pays qu'ils prétendent vouloir aider. Ils viennent juste installer leur business, leur mafia, sans règle, sans loi ni foi et s'en vont sans se soucier de quoi que ce soit concernant les droits de l'homme ou autre.

Massoud parlait du financement des Talibans vidéo ici

L'Afghanistan narco-état 1er exportateur de pavot merci qui?

Les Etats Unis s'intallent, l'héroïne se developpe jusque chez les afghans eux-même, Coïncidence ou traffic illicite ? Non, ce n'est pas légal certains doivent encore penser. Ce n'est pas possible ! Sans foi ni loi, une seule religion l'argent, la drogue endort les foules et rapporte gros. Le business illégal est un business d'état.

Explication par Alex Jones

http://www.dailymotion.com/video/xgaj0s_alex-jones-denonce-le-trafic-de-drogue-des-etats-unis-nazi_news